par Ce fut une soirée magnifique. Une entrée au piano, intime pour "L'écritoire", "A l'abri du meilleur", puis "Fragile". La guitare reprend ses droits avec l'évocation d'un vieil ami avec "Argentine", chanson qui paradoxalement n'est pas un tango, mais qui appelle immédiatement une réaction avec "Le tango du chocolat". Ce concert est empreint d'une grande humanité, d'amour et de respect avec "Prendre un enfant" et "Secrets de famille". Un moment poignant étreint la salle, lors de "Dreyfus" et "La chanson des Justes", chansons évocatrices de profondes blessures. Un clin d’œil à Véronique Sanson, présente dans la salle pour "Mélancolie", et une déclaration d'amour pour un "Passeur de lumière" révèle l'immense sensibilité qui inspire chaque chanson. "Virages", "La langue de chez nous", "Pour les enfants du monde entier" ne pouvaient pas être absents de cette soirée, qui le conclura par Yves, à nouveau seul au piano, par un hymne au savoir, à la culture et surtout a la figure du professeur. Cette figure si importante dans une vie d'enfant, mérite plus que tout autre, en ce moment, un hommage appuyé. La sincérité, l'amour, le respect, l'envie de partager ont rendu ce concert magique. Merci à L’Écritoire pour l'Accréditation photos.
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